La fameuse phrase de Claude Péloquin, gravée par l'artiste Jordi Bonet dans le béton du Grand Théâtre de Québec, devrait être reprise par nos chefs politiques. Ainsi arriverait-on, peut-être, à sortir les Québécois de leur torpeur. «Vous êtes pas tannés de mourir...», dit Péloquin. Les Québécois n'en sont peut-être pas là... C'est pire ! Se faire rétrograder sans cesse, rapetisser, humilier, et sans jamais réagir, fera d'eux ces colons qui inspirèrent son cri du coeur au poète. «C'est assez !» ajouta-t-il d'ailleurs.