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De la conscience humaine(fermaton.overblog.com)

LE LOGO DU FERMATON(La plus petite unité de la conscience humaine), C'EST MATHÉMATIQUES(fermaton.overblog.com)

2 Septembre 2017, 00:18am

Publié par clovis simard

THÉORÈME CLOVIS: JE SUIS QUI JE SUIS, C'EST MATHÉMATIQUES(fermaton.overblog.com) Publié le 3 août 2017 par clovis simard  THÉORÈME CLOVIS : (Et): Dynamisme vital, (C): Mon coeur, (S): Mon corps :YHWH Shalom2.svg Cette page contient des caractères hébreux. En cas de problème, consultez Aide:Unicode ou testez votre navigateur.  Pour le Dieu unique du judaïsme, voir les articles Adonai et Elohim. Pour la divinité du Proche-Orient ancien, voir Yahweh.  Le Tétragramme en phénicien, en araméen ancien et en hébreu carré. Le tétragramme (grec ancien : Τετραγράμματον, Tetragrammaton, « mot composé de quatre lettres ») est le théonyme de la divinité d’Israël, composé des lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה), et retranscrit YHWH en français ou JHVH en allemand.  Apparaissant plus de cinq mille fois dans l’ensemble de la Bible hébraïque et présenté comme le « nom propre » de l’Elohim du judaïsme, il pourrait être dérivé de la racine trilittère hébreu : היה (HYH, « être »)1. Considéré d’une sainteté suprême et déclaré ineffable en raison du troisième commandement (« ne pas prononcer le nom divin en vain ») vers le iiie siècle, il est substitué dans les prières ou la lecture de la Torah par Adonaï (hébreu : אדני « mon Seigneur ») et par HaShem (hébreu : השם « le Nom ») dans un contexte profane.  Certaines traductions chrétiennes de la Bible l’ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh » ou « Jéhovah ». Depuis le pontificat de Benoît XVI, l’Église catholique préconise, entre autres par respect pour les Juifs, de ne plus prononcer « Yahvé » mais d’employer à la place l'expression « le Seigneur »2 selon l’usage de la Vulgate, laquelle suit elle-même la Septante, qui avait transcrit le tétragramme par Κυρίος (Kyrios, « Seigneur »). THÉORÈME CLOVIS : (Et): Dynamisme vital, (C): Mon coeur, (S): Mon corps :YHWH Shalom2.svg Cette page contient des caractères hébreux. En cas de problème, consultez Aide:Unicode ou testez votre navigateur. Pour le Dieu unique du judaïsme, voir les articles Adonai et Elohim. Pour la divinité du Proche-Orient ancien, voir Yahweh. Le Tétragramme en phénicien, en araméen ancien et en hébreu carré. Le tétragramme (grec ancien : Τετραγράμματον, Tetragrammaton, « mot composé de quatre lettres ») est le théonyme de la divinité d’Israël, composé des lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה), et retranscrit YHWH en français ou JHVH en allemand. Apparaissant plus de cinq mille fois dans l’ensemble de la Bible hébraïque et présenté comme le « nom propre » de l’Elohim du judaïsme, il pourrait être dérivé de la racine trilittère hébreu : היה (HYH, « être »)1. Considéré d’une sainteté suprême et déclaré ineffable en raison du troisième commandement (« ne pas prononcer le nom divin en vain ») vers le iiie siècle, il est substitué dans les prières ou la lecture de la Torah par Adonaï (hébreu : אדני « mon Seigneur ») et par HaShem (hébreu : השם « le Nom ») dans un contexte profane. Certaines traductions chrétiennes de la Bible l’ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh » ou « Jéhovah ». Depuis le pontificat de Benoît XVI, l’Église catholique préconise, entre autres par respect pour les Juifs, de ne plus prononcer « Yahvé » mais d’employer à la place l'expression « le Seigneur »2 selon l’usage de la Vulgate, laquelle suit elle-même la Septante, qui avait transcrit le tétragramme par Κυρίος (Kyrios, « Seigneur »).-----------------------------------------ÉQUATIONS MATHÉMATIQUES DE LA CONSCIENCE(LA ROUTE UNIQUE) ET LE CHAMP TEMPOREL(fermaton.overblog.com) Publié le 22 avril 2016 par clovis simard  ÉQUATIONS MATHÉMATIQUES DE LA CONSCIENCE(LA ROUTE UNIQUE) ET LE CHAMP TEMPOREL(fermaton.overblog.com) Accueil Contact ÉQUATIONS MATHÉMATIQUES DE LA CONSCIENCE(fermaton.overblog.com) Publié le 20 novembre 2014 par Clovis Simard Monsieur Stanislas Dehaene(voir article ci-bas après mon document qui suit) pour parler de conscience il faut en faire une définition mathématiques et scientifique. ÉQUATIONS MATHÉMATIQUES DE LA CONSCIENCE(fermaton.overblog.com) Publié le 16 août 2014 par Clovis Simard VOIR MON BLOG(fermaton.overblog.com)-Page No.8 Le No-18 sur la liste de SMALE Quelles sont les limites de l'intelligence tant artificielle qu'humain ? Selon Eisenberg, les nombres peuvent constituer une sorte de passerelle entre la matière et l'esprit, c'est peut-être de leur côté que nous pourrions espérer aller grappiller quelques idées nouvelles. Le FERMATON (La plus petite unité unité de la conscience) couvrant la structure FILAIRE, est un QUBIT dont les caractéristiques d'EULER sont: (19) TUNNELS, (31) CAVITÉS, (7) FACES constituées de deux (2) parties: Le SHELL(surface) et le CORE(centre). Le SHELL, est de structure filaire composé de (18) tunnels ou cônes de PAPPUS. NOTE C’est seulement alors que nous pouvons mieux comprendre le fonctionnement de l’esprit, car en analysant, avec le biologiste Stuart Hameroff, la structure des neurones, Penrose montre que certains de leurs composants, les microtubules, ont des caractéristiques telles que des phénomènes quantiques peuvent s’y dérouler et influencer le fonctionnement des neurones. Ainsi, l’activité neuronale serait "doublée" par une activité plus subtile, située dans les microtubules. Les observations que nous faisons actuellement sur le cerveau et qui portent sur les neurones ne nous donneraient accès qu’à "L’ombre de l’Esprit" et non à l’esprit lui-même, dont la compréhension nous échappera tant qu’une physique nouvelle ne nous permettra pas de comprendre les phénomènes quantiques qui, selon Penrose (mais ce n’est encore qu’une hypothèse) se déroulent dans les microtubules. X2+Y2-Z2=1 (1) seul TUNNEL pour le CORE, s'ouvrant sur deux (2) espaces. La TOPOLOGIE étalée de GALOIS, décrit le FERMATON, et s'exprime selon l'équation du second (2D) suivante: (R^2) +(R)*(r^2)-16 =0 THE RIEMANN METRIC TENSOR HAD SIXTEEN (16) COMPONENTS, TEN OF THEN INDEPENDENT OF ONE OTHER, THAT COULD BE USED TO DEFINE AND DESCRIBE A DISTANCE INCURVED FOUR-DIMENSIONAL SPACETIME. C'est une HYPER-SURFACE algébrique de RAYON (R) et celui de sa SURFACE de rayon (r) est LIMITANT. En RÉSUMÉ LES CARACTÉRISTIQUES D'EULER DU FERMATON SONT: 2(18 TUNNELS)+2(1 TUNNEL)=31(CAVITÉS)+7(FACES)=38(FACES) Les TUNNELS composants le FERMATON, ont des POCHES (L'Effet Hall Quantique) qui retardent la réalisation de l'esprit. Du CORE émerge le TEMPS de retour critique POUR LA MANIFESTATION DE L'ESPRIT dans l'espace temps. Le FERMATON est représenté GLOBALEMENT par un espace SPHÉRIQUE dont toutes les lignes partent d'UN POINT se REGROUPENT au POINT ANTIPODAL, dont la DISTANCE au premier point, mesurée le long de l'une de ces lignes est: (ΠR) LE VOLUME TOTAL DU FERMATON EST REPRÉSENTÉ DANS UN ESPACE SPHÉRIQUE : 2(Π^2)(R^3) LE TEMPS GÉOMÉTRISÉ EN QUATRE DIMENSIONS (4D) EST UN ESPACE SPHÉRIQUE QUI S'OUVRE SUR DEUX (2) FACES, DONT L'ÉQUATION EST : 6(Π^3)(R^5) Ref: Giulio Tononi (Odile Jacob,2003). Galilée et la Photodiode. Cerveau Complexicité et Conscience. C.Q.F.D NEUROSCIENCES Science avec conscience neurosciences - par Luc Allemand dans mensuel n°492 daté octobre 2014 à la page 66 (457 mots) | Payant Notre cerveau traite un nombre d'informations bien plus important que ce dont nous avons conscience. Toutefois, celle-ci joue un rôle indispensable, notamment pour nous permettre d'agir. J'ai fait la connaissance de Stanislas Dehaene* à la fin des années 1990, dans son bureau de l'École des hautes études en sciences sociales, à Paris. Il préparait un livre pour présenter au grand public ses travaux sur la représentation et la manipulation des nombres dans le cerveau, entamés lors de sa thèse, plusieurs années auparavant. Et comme il n'aime pas faire les choses à moitié, il l'écrivait d'abord en anglais, afin de le publier aux États-Unis ; ensuite il le traduirait (plutôt, le réécrirait) en français. Le Code de la conscience**, nouvel ouvrage qu'il [...] La Fin de l'Éternité La Fin de l'Éternité (titre original : The End of Eternity) est un roman de science-fiction écrit par Isaac Asimov et publié en 1955. Baignée de mystère et de suspense, l'histoire s'inspire du thème du voyage dans le temps avec une organisation secrète qui cherche à rendre l'humanité meilleure. Thème du roman L'« Éternité » est une organisation qui existe en dehors du temps. Elle se compose d'hommes appelés les « Éternels », recrutés dans différentes ères de l'histoire humaine commençant au vingt-septième siècle. Les Éternels peuvent se déplacer dans le temps et se rendre à un moment quelconque et en un lieu quelconque, pour agir dans le monde normal, à l'exception d'une zone de leur futur lointain avec laquelle ils ne peuvent interagir. Ce sont des gardiens effectuant des actions ponctuelles dans le temps, selon les calculs de scientifiques, de mathématiciens et de probabilistes, avec l'objectif de modifier le cours de l'histoire de l'humanité pour en retirer les difficultés et les maux, comme les guerres, le tout sans que l'humanité en ait conscience. Résumé L'espèce humaine se maintient ainsi dans un état de bonheur passif, sans être forcée de progresser ou d'innover. Les espèces extra-terrestres évoluent beaucoup plus rapidement que l'humanité et la dépassent technologiquement. Les humains du futur lointain l'ont bien compris et c'est pour cela qu'ils interdisent les modifications de leur passé proche. Convaincu par une jeune femme récemment rencontrée, dont on comprendra qu'elle vient du futur lointain, le personnage principal de l'histoire se rend compte de ces conséquences. Il prend alors la décision, lors d'un voyage dans le passé « interdit » (c'est-à-dire notre époque), d'empêcher les actions qui auraient dû mener à la création de l'Éternité. En effet pour que la technologie permettant de voyager dans le temps ait pu apparaître à cette époque, les Éternels se sont rendu compte qu'il y a eu l'intervention d'un homme venu du futur, en l'occurrence un éternel nommé Brisley Sheridan Cooper. Des similitudes avec le Cycle de Fondation se retrouvent dans l'existence d'une assemblée d'êtres humains chargés de veiller sur l'évolution de l'humanité, mais on voit bien où vont les préférences de l'auteur : Isaac Asimov, scientifique de formation, a toujours privilégié la science-fiction à caractère (relativement) rationnel. Amené comme de nombreux auteurs à traiter de l'impossible voyage dans le temps, son récit donne l'impression de le supprimer pour d'autres raisons que le simple plaisir du paradoxe temporel.
THÉORÈME CLOVIS: JE SUIS QUI JE SUIS, C'EST MATHÉMATIQUES(fermaton.overblog.com) Publié le 3 août 2017 par clovis simard  THÉORÈME CLOVIS : (Et): Dynamisme vital, (C): Mon coeur, (S): Mon corps :YHWH Shalom2.svg Cette page contient des caractères hébreux. En cas de problème, consultez Aide:Unicode ou testez votre navigateur.  Pour le Dieu unique du judaïsme, voir les articles Adonai et Elohim. Pour la divinité du Proche-Orient ancien, voir Yahweh.  Le Tétragramme en phénicien, en araméen ancien et en hébreu carré. Le tétragramme (grec ancien : Τετραγράμματον, Tetragrammaton, « mot composé de quatre lettres ») est le théonyme de la divinité d’Israël, composé des lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה), et retranscrit YHWH en français ou JHVH en allemand.  Apparaissant plus de cinq mille fois dans l’ensemble de la Bible hébraïque et présenté comme le « nom propre » de l’Elohim du judaïsme, il pourrait être dérivé de la racine trilittère hébreu : היה (HYH, « être »)1. Considéré d’une sainteté suprême et déclaré ineffable en raison du troisième commandement (« ne pas prononcer le nom divin en vain ») vers le iiie siècle, il est substitué dans les prières ou la lecture de la Torah par Adonaï (hébreu : אדני « mon Seigneur ») et par HaShem (hébreu : השם « le Nom ») dans un contexte profane.  Certaines traductions chrétiennes de la Bible l’ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh » ou « Jéhovah ». Depuis le pontificat de Benoît XVI, l’Église catholique préconise, entre autres par respect pour les Juifs, de ne plus prononcer « Yahvé » mais d’employer à la place l'expression « le Seigneur »2 selon l’usage de la Vulgate, laquelle suit elle-même la Septante, qui avait transcrit le tétragramme par Κυρίος (Kyrios, « Seigneur »). THÉORÈME CLOVIS : (Et): Dynamisme vital, (C): Mon coeur, (S): Mon corps :YHWH Shalom2.svg Cette page contient des caractères hébreux. En cas de problème, consultez Aide:Unicode ou testez votre navigateur. Pour le Dieu unique du judaïsme, voir les articles Adonai et Elohim. Pour la divinité du Proche-Orient ancien, voir Yahweh. Le Tétragramme en phénicien, en araméen ancien et en hébreu carré. Le tétragramme (grec ancien : Τετραγράμματον, Tetragrammaton, « mot composé de quatre lettres ») est le théonyme de la divinité d’Israël, composé des lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה), et retranscrit YHWH en français ou JHVH en allemand. Apparaissant plus de cinq mille fois dans l’ensemble de la Bible hébraïque et présenté comme le « nom propre » de l’Elohim du judaïsme, il pourrait être dérivé de la racine trilittère hébreu : היה (HYH, « être »)1. Considéré d’une sainteté suprême et déclaré ineffable en raison du troisième commandement (« ne pas prononcer le nom divin en vain ») vers le iiie siècle, il est substitué dans les prières ou la lecture de la Torah par Adonaï (hébreu : אדני « mon Seigneur ») et par HaShem (hébreu : השם « le Nom ») dans un contexte profane. Certaines traductions chrétiennes de la Bible l’ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh » ou « Jéhovah ». Depuis le pontificat de Benoît XVI, l’Église catholique préconise, entre autres par respect pour les Juifs, de ne plus prononcer « Yahvé » mais d’employer à la place l'expression « le Seigneur »2 selon l’usage de la Vulgate, laquelle suit elle-même la Septante, qui avait transcrit le tétragramme par Κυρίος (Kyrios, « Seigneur »).-----------------------------------------ÉQUATIONS MATHÉMATIQUES DE LA CONSCIENCE(LA ROUTE UNIQUE) ET LE CHAMP TEMPOREL(fermaton.overblog.com) Publié le 22 avril 2016 par clovis simard  ÉQUATIONS MATHÉMATIQUES DE LA CONSCIENCE(LA ROUTE UNIQUE) ET LE CHAMP TEMPOREL(fermaton.overblog.com) Accueil Contact ÉQUATIONS MATHÉMATIQUES DE LA CONSCIENCE(fermaton.overblog.com) Publié le 20 novembre 2014 par Clovis Simard Monsieur Stanislas Dehaene(voir article ci-bas après mon document qui suit) pour parler de conscience il faut en faire une définition mathématiques et scientifique. ÉQUATIONS MATHÉMATIQUES DE LA CONSCIENCE(fermaton.overblog.com) Publié le 16 août 2014 par Clovis Simard VOIR MON BLOG(fermaton.overblog.com)-Page No.8 Le No-18 sur la liste de SMALE Quelles sont les limites de l'intelligence tant artificielle qu'humain ? Selon Eisenberg, les nombres peuvent constituer une sorte de passerelle entre la matière et l'esprit, c'est peut-être de leur côté que nous pourrions espérer aller grappiller quelques idées nouvelles. Le FERMATON (La plus petite unité unité de la conscience) couvrant la structure FILAIRE, est un QUBIT dont les caractéristiques d'EULER sont: (19) TUNNELS, (31) CAVITÉS, (7) FACES constituées de deux (2) parties: Le SHELL(surface) et le CORE(centre). Le SHELL, est de structure filaire composé de (18) tunnels ou cônes de PAPPUS. NOTE C’est seulement alors que nous pouvons mieux comprendre le fonctionnement de l’esprit, car en analysant, avec le biologiste Stuart Hameroff, la structure des neurones, Penrose montre que certains de leurs composants, les microtubules, ont des caractéristiques telles que des phénomènes quantiques peuvent s’y dérouler et influencer le fonctionnement des neurones. Ainsi, l’activité neuronale serait "doublée" par une activité plus subtile, située dans les microtubules. Les observations que nous faisons actuellement sur le cerveau et qui portent sur les neurones ne nous donneraient accès qu’à "L’ombre de l’Esprit" et non à l’esprit lui-même, dont la compréhension nous échappera tant qu’une physique nouvelle ne nous permettra pas de comprendre les phénomènes quantiques qui, selon Penrose (mais ce n’est encore qu’une hypothèse) se déroulent dans les microtubules. X2+Y2-Z2=1 (1) seul TUNNEL pour le CORE, s'ouvrant sur deux (2) espaces. La TOPOLOGIE étalée de GALOIS, décrit le FERMATON, et s'exprime selon l'équation du second (2D) suivante: (R^2) +(R)*(r^2)-16 =0 THE RIEMANN METRIC TENSOR HAD SIXTEEN (16) COMPONENTS, TEN OF THEN INDEPENDENT OF ONE OTHER, THAT COULD BE USED TO DEFINE AND DESCRIBE A DISTANCE INCURVED FOUR-DIMENSIONAL SPACETIME. C'est une HYPER-SURFACE algébrique de RAYON (R) et celui de sa SURFACE de rayon (r) est LIMITANT. En RÉSUMÉ LES CARACTÉRISTIQUES D'EULER DU FERMATON SONT: 2(18 TUNNELS)+2(1 TUNNEL)=31(CAVITÉS)+7(FACES)=38(FACES) Les TUNNELS composants le FERMATON, ont des POCHES (L'Effet Hall Quantique) qui retardent la réalisation de l'esprit. Du CORE émerge le TEMPS de retour critique POUR LA MANIFESTATION DE L'ESPRIT dans l'espace temps. Le FERMATON est représenté GLOBALEMENT par un espace SPHÉRIQUE dont toutes les lignes partent d'UN POINT se REGROUPENT au POINT ANTIPODAL, dont la DISTANCE au premier point, mesurée le long de l'une de ces lignes est: (ΠR) LE VOLUME TOTAL DU FERMATON EST REPRÉSENTÉ DANS UN ESPACE SPHÉRIQUE : 2(Π^2)(R^3) LE TEMPS GÉOMÉTRISÉ EN QUATRE DIMENSIONS (4D) EST UN ESPACE SPHÉRIQUE QUI S'OUVRE SUR DEUX (2) FACES, DONT L'ÉQUATION EST : 6(Π^3)(R^5) Ref: Giulio Tononi (Odile Jacob,2003). Galilée et la Photodiode. Cerveau Complexicité et Conscience. C.Q.F.D NEUROSCIENCES Science avec conscience neurosciences - par Luc Allemand dans mensuel n°492 daté octobre 2014 à la page 66 (457 mots) | Payant Notre cerveau traite un nombre d'informations bien plus important que ce dont nous avons conscience. Toutefois, celle-ci joue un rôle indispensable, notamment pour nous permettre d'agir. J'ai fait la connaissance de Stanislas Dehaene* à la fin des années 1990, dans son bureau de l'École des hautes études en sciences sociales, à Paris. Il préparait un livre pour présenter au grand public ses travaux sur la représentation et la manipulation des nombres dans le cerveau, entamés lors de sa thèse, plusieurs années auparavant. Et comme il n'aime pas faire les choses à moitié, il l'écrivait d'abord en anglais, afin de le publier aux États-Unis ; ensuite il le traduirait (plutôt, le réécrirait) en français. Le Code de la conscience**, nouvel ouvrage qu'il [...] La Fin de l'Éternité La Fin de l'Éternité (titre original : The End of Eternity) est un roman de science-fiction écrit par Isaac Asimov et publié en 1955. Baignée de mystère et de suspense, l'histoire s'inspire du thème du voyage dans le temps avec une organisation secrète qui cherche à rendre l'humanité meilleure. Thème du roman L'« Éternité » est une organisation qui existe en dehors du temps. Elle se compose d'hommes appelés les « Éternels », recrutés dans différentes ères de l'histoire humaine commençant au vingt-septième siècle. Les Éternels peuvent se déplacer dans le temps et se rendre à un moment quelconque et en un lieu quelconque, pour agir dans le monde normal, à l'exception d'une zone de leur futur lointain avec laquelle ils ne peuvent interagir. Ce sont des gardiens effectuant des actions ponctuelles dans le temps, selon les calculs de scientifiques, de mathématiciens et de probabilistes, avec l'objectif de modifier le cours de l'histoire de l'humanité pour en retirer les difficultés et les maux, comme les guerres, le tout sans que l'humanité en ait conscience. Résumé L'espèce humaine se maintient ainsi dans un état de bonheur passif, sans être forcée de progresser ou d'innover. Les espèces extra-terrestres évoluent beaucoup plus rapidement que l'humanité et la dépassent technologiquement. Les humains du futur lointain l'ont bien compris et c'est pour cela qu'ils interdisent les modifications de leur passé proche. Convaincu par une jeune femme récemment rencontrée, dont on comprendra qu'elle vient du futur lointain, le personnage principal de l'histoire se rend compte de ces conséquences. Il prend alors la décision, lors d'un voyage dans le passé « interdit » (c'est-à-dire notre époque), d'empêcher les actions qui auraient dû mener à la création de l'Éternité. En effet pour que la technologie permettant de voyager dans le temps ait pu apparaître à cette époque, les Éternels se sont rendu compte qu'il y a eu l'intervention d'un homme venu du futur, en l'occurrence un éternel nommé Brisley Sheridan Cooper. Des similitudes avec le Cycle de Fondation se retrouvent dans l'existence d'une assemblée d'êtres humains chargés de veiller sur l'évolution de l'humanité, mais on voit bien où vont les préférences de l'auteur : Isaac Asimov, scientifique de formation, a toujours privilégié la science-fiction à caractère (relativement) rationnel. Amené comme de nombreux auteurs à traiter de l'impossible voyage dans le temps, son récit donne l'impression de le supprimer pour d'autres raisons que le simple plaisir du paradoxe temporel.
THÉORÈME CLOVIS: JE SUIS QUI JE SUIS, C'EST MATHÉMATIQUES(fermaton.overblog.com) Publié le 3 août 2017 par clovis simard  THÉORÈME CLOVIS : (Et): Dynamisme vital, (C): Mon coeur, (S): Mon corps :YHWH Shalom2.svg Cette page contient des caractères hébreux. En cas de problème, consultez Aide:Unicode ou testez votre navigateur.  Pour le Dieu unique du judaïsme, voir les articles Adonai et Elohim. Pour la divinité du Proche-Orient ancien, voir Yahweh.  Le Tétragramme en phénicien, en araméen ancien et en hébreu carré. Le tétragramme (grec ancien : Τετραγράμματον, Tetragrammaton, « mot composé de quatre lettres ») est le théonyme de la divinité d’Israël, composé des lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה), et retranscrit YHWH en français ou JHVH en allemand.  Apparaissant plus de cinq mille fois dans l’ensemble de la Bible hébraïque et présenté comme le « nom propre » de l’Elohim du judaïsme, il pourrait être dérivé de la racine trilittère hébreu : היה (HYH, « être »)1. Considéré d’une sainteté suprême et déclaré ineffable en raison du troisième commandement (« ne pas prononcer le nom divin en vain ») vers le iiie siècle, il est substitué dans les prières ou la lecture de la Torah par Adonaï (hébreu : אדני « mon Seigneur ») et par HaShem (hébreu : השם « le Nom ») dans un contexte profane.  Certaines traductions chrétiennes de la Bible l’ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh » ou « Jéhovah ». Depuis le pontificat de Benoît XVI, l’Église catholique préconise, entre autres par respect pour les Juifs, de ne plus prononcer « Yahvé » mais d’employer à la place l'expression « le Seigneur »2 selon l’usage de la Vulgate, laquelle suit elle-même la Septante, qui avait transcrit le tétragramme par Κυρίος (Kyrios, « Seigneur »). THÉORÈME CLOVIS : (Et): Dynamisme vital, (C): Mon coeur, (S): Mon corps :YHWH Shalom2.svg Cette page contient des caractères hébreux. En cas de problème, consultez Aide:Unicode ou testez votre navigateur. Pour le Dieu unique du judaïsme, voir les articles Adonai et Elohim. Pour la divinité du Proche-Orient ancien, voir Yahweh. Le Tétragramme en phénicien, en araméen ancien et en hébreu carré. Le tétragramme (grec ancien : Τετραγράμματον, Tetragrammaton, « mot composé de quatre lettres ») est le théonyme de la divinité d’Israël, composé des lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה), et retranscrit YHWH en français ou JHVH en allemand. Apparaissant plus de cinq mille fois dans l’ensemble de la Bible hébraïque et présenté comme le « nom propre » de l’Elohim du judaïsme, il pourrait être dérivé de la racine trilittère hébreu : היה (HYH, « être »)1. Considéré d’une sainteté suprême et déclaré ineffable en raison du troisième commandement (« ne pas prononcer le nom divin en vain ») vers le iiie siècle, il est substitué dans les prières ou la lecture de la Torah par Adonaï (hébreu : אדני « mon Seigneur ») et par HaShem (hébreu : השם « le Nom ») dans un contexte profane. Certaines traductions chrétiennes de la Bible l’ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh » ou « Jéhovah ». Depuis le pontificat de Benoît XVI, l’Église catholique préconise, entre autres par respect pour les Juifs, de ne plus prononcer « Yahvé » mais d’employer à la place l'expression « le Seigneur »2 selon l’usage de la Vulgate, laquelle suit elle-même la Septante, qui avait transcrit le tétragramme par Κυρίος (Kyrios, « Seigneur »).-----------------------------------------ÉQUATIONS MATHÉMATIQUES DE LA CONSCIENCE(LA ROUTE UNIQUE) ET LE CHAMP TEMPOREL(fermaton.overblog.com) Publié le 22 avril 2016 par clovis simard  ÉQUATIONS MATHÉMATIQUES DE LA CONSCIENCE(LA ROUTE UNIQUE) ET LE CHAMP TEMPOREL(fermaton.overblog.com) Accueil Contact ÉQUATIONS MATHÉMATIQUES DE LA CONSCIENCE(fermaton.overblog.com) Publié le 20 novembre 2014 par Clovis Simard Monsieur Stanislas Dehaene(voir article ci-bas après mon document qui suit) pour parler de conscience il faut en faire une définition mathématiques et scientifique. ÉQUATIONS MATHÉMATIQUES DE LA CONSCIENCE(fermaton.overblog.com) Publié le 16 août 2014 par Clovis Simard VOIR MON BLOG(fermaton.overblog.com)-Page No.8 Le No-18 sur la liste de SMALE Quelles sont les limites de l'intelligence tant artificielle qu'humain ? Selon Eisenberg, les nombres peuvent constituer une sorte de passerelle entre la matière et l'esprit, c'est peut-être de leur côté que nous pourrions espérer aller grappiller quelques idées nouvelles. Le FERMATON (La plus petite unité unité de la conscience) couvrant la structure FILAIRE, est un QUBIT dont les caractéristiques d'EULER sont: (19) TUNNELS, (31) CAVITÉS, (7) FACES constituées de deux (2) parties: Le SHELL(surface) et le CORE(centre). Le SHELL, est de structure filaire composé de (18) tunnels ou cônes de PAPPUS. NOTE C’est seulement alors que nous pouvons mieux comprendre le fonctionnement de l’esprit, car en analysant, avec le biologiste Stuart Hameroff, la structure des neurones, Penrose montre que certains de leurs composants, les microtubules, ont des caractéristiques telles que des phénomènes quantiques peuvent s’y dérouler et influencer le fonctionnement des neurones. Ainsi, l’activité neuronale serait "doublée" par une activité plus subtile, située dans les microtubules. Les observations que nous faisons actuellement sur le cerveau et qui portent sur les neurones ne nous donneraient accès qu’à "L’ombre de l’Esprit" et non à l’esprit lui-même, dont la compréhension nous échappera tant qu’une physique nouvelle ne nous permettra pas de comprendre les phénomènes quantiques qui, selon Penrose (mais ce n’est encore qu’une hypothèse) se déroulent dans les microtubules. X2+Y2-Z2=1 (1) seul TUNNEL pour le CORE, s'ouvrant sur deux (2) espaces. La TOPOLOGIE étalée de GALOIS, décrit le FERMATON, et s'exprime selon l'équation du second (2D) suivante: (R^2) +(R)*(r^2)-16 =0 THE RIEMANN METRIC TENSOR HAD SIXTEEN (16) COMPONENTS, TEN OF THEN INDEPENDENT OF ONE OTHER, THAT COULD BE USED TO DEFINE AND DESCRIBE A DISTANCE INCURVED FOUR-DIMENSIONAL SPACETIME. C'est une HYPER-SURFACE algébrique de RAYON (R) et celui de sa SURFACE de rayon (r) est LIMITANT. En RÉSUMÉ LES CARACTÉRISTIQUES D'EULER DU FERMATON SONT: 2(18 TUNNELS)+2(1 TUNNEL)=31(CAVITÉS)+7(FACES)=38(FACES) Les TUNNELS composants le FERMATON, ont des POCHES (L'Effet Hall Quantique) qui retardent la réalisation de l'esprit. Du CORE émerge le TEMPS de retour critique POUR LA MANIFESTATION DE L'ESPRIT dans l'espace temps. Le FERMATON est représenté GLOBALEMENT par un espace SPHÉRIQUE dont toutes les lignes partent d'UN POINT se REGROUPENT au POINT ANTIPODAL, dont la DISTANCE au premier point, mesurée le long de l'une de ces lignes est: (ΠR) LE VOLUME TOTAL DU FERMATON EST REPRÉSENTÉ DANS UN ESPACE SPHÉRIQUE : 2(Π^2)(R^3) LE TEMPS GÉOMÉTRISÉ EN QUATRE DIMENSIONS (4D) EST UN ESPACE SPHÉRIQUE QUI S'OUVRE SUR DEUX (2) FACES, DONT L'ÉQUATION EST : 6(Π^3)(R^5) Ref: Giulio Tononi (Odile Jacob,2003). Galilée et la Photodiode. Cerveau Complexicité et Conscience. C.Q.F.D NEUROSCIENCES Science avec conscience neurosciences - par Luc Allemand dans mensuel n°492 daté octobre 2014 à la page 66 (457 mots) | Payant Notre cerveau traite un nombre d'informations bien plus important que ce dont nous avons conscience. Toutefois, celle-ci joue un rôle indispensable, notamment pour nous permettre d'agir. J'ai fait la connaissance de Stanislas Dehaene* à la fin des années 1990, dans son bureau de l'École des hautes études en sciences sociales, à Paris. Il préparait un livre pour présenter au grand public ses travaux sur la représentation et la manipulation des nombres dans le cerveau, entamés lors de sa thèse, plusieurs années auparavant. Et comme il n'aime pas faire les choses à moitié, il l'écrivait d'abord en anglais, afin de le publier aux États-Unis ; ensuite il le traduirait (plutôt, le réécrirait) en français. Le Code de la conscience**, nouvel ouvrage qu'il [...] La Fin de l'Éternité La Fin de l'Éternité (titre original : The End of Eternity) est un roman de science-fiction écrit par Isaac Asimov et publié en 1955. Baignée de mystère et de suspense, l'histoire s'inspire du thème du voyage dans le temps avec une organisation secrète qui cherche à rendre l'humanité meilleure. Thème du roman L'« Éternité » est une organisation qui existe en dehors du temps. Elle se compose d'hommes appelés les « Éternels », recrutés dans différentes ères de l'histoire humaine commençant au vingt-septième siècle. Les Éternels peuvent se déplacer dans le temps et se rendre à un moment quelconque et en un lieu quelconque, pour agir dans le monde normal, à l'exception d'une zone de leur futur lointain avec laquelle ils ne peuvent interagir. Ce sont des gardiens effectuant des actions ponctuelles dans le temps, selon les calculs de scientifiques, de mathématiciens et de probabilistes, avec l'objectif de modifier le cours de l'histoire de l'humanité pour en retirer les difficultés et les maux, comme les guerres, le tout sans que l'humanité en ait conscience. Résumé L'espèce humaine se maintient ainsi dans un état de bonheur passif, sans être forcée de progresser ou d'innover. Les espèces extra-terrestres évoluent beaucoup plus rapidement que l'humanité et la dépassent technologiquement. Les humains du futur lointain l'ont bien compris et c'est pour cela qu'ils interdisent les modifications de leur passé proche. Convaincu par une jeune femme récemment rencontrée, dont on comprendra qu'elle vient du futur lointain, le personnage principal de l'histoire se rend compte de ces conséquences. Il prend alors la décision, lors d'un voyage dans le passé « interdit » (c'est-à-dire notre époque), d'empêcher les actions qui auraient dû mener à la création de l'Éternité. En effet pour que la technologie permettant de voyager dans le temps ait pu apparaître à cette époque, les Éternels se sont rendu compte qu'il y a eu l'intervention d'un homme venu du futur, en l'occurrence un éternel nommé Brisley Sheridan Cooper. Des similitudes avec le Cycle de Fondation se retrouvent dans l'existence d'une assemblée d'êtres humains chargés de veiller sur l'évolution de l'humanité, mais on voit bien où vont les préférences de l'auteur : Isaac Asimov, scientifique de formation, a toujours privilégié la science-fiction à caractère (relativement) rationnel. Amené comme de nombreux auteurs à traiter de l'impossible voyage dans le temps, son récit donne l'impression de le supprimer pour d'autres raisons que le simple plaisir du paradoxe temporel.

THÉORÈME CLOVIS: JE SUIS QUI JE SUIS, C'EST MATHÉMATIQUES(fermaton.overblog.com) Publié le 3 août 2017 par clovis simard THÉORÈME CLOVIS : (Et): Dynamisme vital, (C): Mon coeur, (S): Mon corps :YHWH Shalom2.svg Cette page contient des caractères hébreux. En cas de problème, consultez Aide:Unicode ou testez votre navigateur. Pour le Dieu unique du judaïsme, voir les articles Adonai et Elohim. Pour la divinité du Proche-Orient ancien, voir Yahweh. Le Tétragramme en phénicien, en araméen ancien et en hébreu carré. Le tétragramme (grec ancien : Τετραγράμματον, Tetragrammaton, « mot composé de quatre lettres ») est le théonyme de la divinité d’Israël, composé des lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה), et retranscrit YHWH en français ou JHVH en allemand. Apparaissant plus de cinq mille fois dans l’ensemble de la Bible hébraïque et présenté comme le « nom propre » de l’Elohim du judaïsme, il pourrait être dérivé de la racine trilittère hébreu : היה (HYH, « être »)1. Considéré d’une sainteté suprême et déclaré ineffable en raison du troisième commandement (« ne pas prononcer le nom divin en vain ») vers le iiie siècle, il est substitué dans les prières ou la lecture de la Torah par Adonaï (hébreu : אדני « mon Seigneur ») et par HaShem (hébreu : השם « le Nom ») dans un contexte profane. Certaines traductions chrétiennes de la Bible l’ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh » ou « Jéhovah ». Depuis le pontificat de Benoît XVI, l’Église catholique préconise, entre autres par respect pour les Juifs, de ne plus prononcer « Yahvé » mais d’employer à la place l'expression « le Seigneur »2 selon l’usage de la Vulgate, laquelle suit elle-même la Septante, qui avait transcrit le tétragramme par Κυρίος (Kyrios, « Seigneur »). THÉORÈME CLOVIS : (Et): Dynamisme vital, (C): Mon coeur, (S): Mon corps :YHWH Shalom2.svg Cette page contient des caractères hébreux. En cas de problème, consultez Aide:Unicode ou testez votre navigateur. Pour le Dieu unique du judaïsme, voir les articles Adonai et Elohim. Pour la divinité du Proche-Orient ancien, voir Yahweh. Le Tétragramme en phénicien, en araméen ancien et en hébreu carré. Le tétragramme (grec ancien : Τετραγράμματον, Tetragrammaton, « mot composé de quatre lettres ») est le théonyme de la divinité d’Israël, composé des lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה), et retranscrit YHWH en français ou JHVH en allemand. Apparaissant plus de cinq mille fois dans l’ensemble de la Bible hébraïque et présenté comme le « nom propre » de l’Elohim du judaïsme, il pourrait être dérivé de la racine trilittère hébreu : היה (HYH, « être »)1. Considéré d’une sainteté suprême et déclaré ineffable en raison du troisième commandement (« ne pas prononcer le nom divin en vain ») vers le iiie siècle, il est substitué dans les prières ou la lecture de la Torah par Adonaï (hébreu : אדני « mon Seigneur ») et par HaShem (hébreu : השם « le Nom ») dans un contexte profane. Certaines traductions chrétiennes de la Bible l’ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh » ou « Jéhovah ». Depuis le pontificat de Benoît XVI, l’Église catholique préconise, entre autres par respect pour les Juifs, de ne plus prononcer « Yahvé » mais d’employer à la place l'expression « le Seigneur »2 selon l’usage de la Vulgate, laquelle suit elle-même la Septante, qui avait transcrit le tétragramme par Κυρίος (Kyrios, « Seigneur »).-----------------------------------------ÉQUATIONS MATHÉMATIQUES DE LA CONSCIENCE(LA ROUTE UNIQUE) ET LE CHAMP TEMPOREL(fermaton.overblog.com) Publié le 22 avril 2016 par clovis simard ÉQUATIONS MATHÉMATIQUES DE LA CONSCIENCE(LA ROUTE UNIQUE) ET LE CHAMP TEMPOREL(fermaton.overblog.com) Accueil Contact ÉQUATIONS MATHÉMATIQUES DE LA CONSCIENCE(fermaton.overblog.com) Publié le 20 novembre 2014 par Clovis Simard Monsieur Stanislas Dehaene(voir article ci-bas après mon document qui suit) pour parler de conscience il faut en faire une définition mathématiques et scientifique. ÉQUATIONS MATHÉMATIQUES DE LA CONSCIENCE(fermaton.overblog.com) Publié le 16 août 2014 par Clovis Simard VOIR MON BLOG(fermaton.overblog.com)-Page No.8 Le No-18 sur la liste de SMALE Quelles sont les limites de l'intelligence tant artificielle qu'humain ? Selon Eisenberg, les nombres peuvent constituer une sorte de passerelle entre la matière et l'esprit, c'est peut-être de leur côté que nous pourrions espérer aller grappiller quelques idées nouvelles. Le FERMATON (La plus petite unité unité de la conscience) couvrant la structure FILAIRE, est un QUBIT dont les caractéristiques d'EULER sont: (19) TUNNELS, (31) CAVITÉS, (7) FACES constituées de deux (2) parties: Le SHELL(surface) et le CORE(centre). Le SHELL, est de structure filaire composé de (18) tunnels ou cônes de PAPPUS. NOTE C’est seulement alors que nous pouvons mieux comprendre le fonctionnement de l’esprit, car en analysant, avec le biologiste Stuart Hameroff, la structure des neurones, Penrose montre que certains de leurs composants, les microtubules, ont des caractéristiques telles que des phénomènes quantiques peuvent s’y dérouler et influencer le fonctionnement des neurones. Ainsi, l’activité neuronale serait "doublée" par une activité plus subtile, située dans les microtubules. Les observations que nous faisons actuellement sur le cerveau et qui portent sur les neurones ne nous donneraient accès qu’à "L’ombre de l’Esprit" et non à l’esprit lui-même, dont la compréhension nous échappera tant qu’une physique nouvelle ne nous permettra pas de comprendre les phénomènes quantiques qui, selon Penrose (mais ce n’est encore qu’une hypothèse) se déroulent dans les microtubules. X2+Y2-Z2=1 (1) seul TUNNEL pour le CORE, s'ouvrant sur deux (2) espaces. La TOPOLOGIE étalée de GALOIS, décrit le FERMATON, et s'exprime selon l'équation du second (2D) suivante: (R^2) +(R)*(r^2)-16 =0 THE RIEMANN METRIC TENSOR HAD SIXTEEN (16) COMPONENTS, TEN OF THEN INDEPENDENT OF ONE OTHER, THAT COULD BE USED TO DEFINE AND DESCRIBE A DISTANCE INCURVED FOUR-DIMENSIONAL SPACETIME. C'est une HYPER-SURFACE algébrique de RAYON (R) et celui de sa SURFACE de rayon (r) est LIMITANT. En RÉSUMÉ LES CARACTÉRISTIQUES D'EULER DU FERMATON SONT: 2(18 TUNNELS)+2(1 TUNNEL)=31(CAVITÉS)+7(FACES)=38(FACES) Les TUNNELS composants le FERMATON, ont des POCHES (L'Effet Hall Quantique) qui retardent la réalisation de l'esprit. Du CORE émerge le TEMPS de retour critique POUR LA MANIFESTATION DE L'ESPRIT dans l'espace temps. Le FERMATON est représenté GLOBALEMENT par un espace SPHÉRIQUE dont toutes les lignes partent d'UN POINT se REGROUPENT au POINT ANTIPODAL, dont la DISTANCE au premier point, mesurée le long de l'une de ces lignes est: (ΠR) LE VOLUME TOTAL DU FERMATON EST REPRÉSENTÉ DANS UN ESPACE SPHÉRIQUE : 2(Π^2)(R^3) LE TEMPS GÉOMÉTRISÉ EN QUATRE DIMENSIONS (4D) EST UN ESPACE SPHÉRIQUE QUI S'OUVRE SUR DEUX (2) FACES, DONT L'ÉQUATION EST : 6(Π^3)(R^5) Ref: Giulio Tononi (Odile Jacob,2003). Galilée et la Photodiode. Cerveau Complexicité et Conscience. C.Q.F.D NEUROSCIENCES Science avec conscience neurosciences - par Luc Allemand dans mensuel n°492 daté octobre 2014 à la page 66 (457 mots) | Payant Notre cerveau traite un nombre d'informations bien plus important que ce dont nous avons conscience. Toutefois, celle-ci joue un rôle indispensable, notamment pour nous permettre d'agir. J'ai fait la connaissance de Stanislas Dehaene* à la fin des années 1990, dans son bureau de l'École des hautes études en sciences sociales, à Paris. Il préparait un livre pour présenter au grand public ses travaux sur la représentation et la manipulation des nombres dans le cerveau, entamés lors de sa thèse, plusieurs années auparavant. Et comme il n'aime pas faire les choses à moitié, il l'écrivait d'abord en anglais, afin de le publier aux États-Unis ; ensuite il le traduirait (plutôt, le réécrirait) en français. Le Code de la conscience**, nouvel ouvrage qu'il [...] La Fin de l'Éternité La Fin de l'Éternité (titre original : The End of Eternity) est un roman de science-fiction écrit par Isaac Asimov et publié en 1955. Baignée de mystère et de suspense, l'histoire s'inspire du thème du voyage dans le temps avec une organisation secrète qui cherche à rendre l'humanité meilleure. Thème du roman L'« Éternité » est une organisation qui existe en dehors du temps. Elle se compose d'hommes appelés les « Éternels », recrutés dans différentes ères de l'histoire humaine commençant au vingt-septième siècle. Les Éternels peuvent se déplacer dans le temps et se rendre à un moment quelconque et en un lieu quelconque, pour agir dans le monde normal, à l'exception d'une zone de leur futur lointain avec laquelle ils ne peuvent interagir. Ce sont des gardiens effectuant des actions ponctuelles dans le temps, selon les calculs de scientifiques, de mathématiciens et de probabilistes, avec l'objectif de modifier le cours de l'histoire de l'humanité pour en retirer les difficultés et les maux, comme les guerres, le tout sans que l'humanité en ait conscience. Résumé L'espèce humaine se maintient ainsi dans un état de bonheur passif, sans être forcée de progresser ou d'innover. Les espèces extra-terrestres évoluent beaucoup plus rapidement que l'humanité et la dépassent technologiquement. Les humains du futur lointain l'ont bien compris et c'est pour cela qu'ils interdisent les modifications de leur passé proche. Convaincu par une jeune femme récemment rencontrée, dont on comprendra qu'elle vient du futur lointain, le personnage principal de l'histoire se rend compte de ces conséquences. Il prend alors la décision, lors d'un voyage dans le passé « interdit » (c'est-à-dire notre époque), d'empêcher les actions qui auraient dû mener à la création de l'Éternité. En effet pour que la technologie permettant de voyager dans le temps ait pu apparaître à cette époque, les Éternels se sont rendu compte qu'il y a eu l'intervention d'un homme venu du futur, en l'occurrence un éternel nommé Brisley Sheridan Cooper. Des similitudes avec le Cycle de Fondation se retrouvent dans l'existence d'une assemblée d'êtres humains chargés de veiller sur l'évolution de l'humanité, mais on voit bien où vont les préférences de l'auteur : Isaac Asimov, scientifique de formation, a toujours privilégié la science-fiction à caractère (relativement) rationnel. Amené comme de nombreux auteurs à traiter de l'impossible voyage dans le temps, son récit donne l'impression de le supprimer pour d'autres raisons que le simple plaisir du paradoxe temporel.

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