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De la conscience humaine(fermaton.overblog.com)

LAINE ET EAU D'ALICE AUX PAYS DES MERVEILLES :LE NOMBRE D'OR, C'EST MATHÉMATIQUES(fermaton.overblog.com)

26 Octobre 2015, 22:47pm

Publié par clovis simard

LAINE ET EAU D'ALICE AUX PAYS DES MERVEILLES :LE NOMBRE D'OR, C'EST MATHÉMATIQUES(fermaton.overblog.com)
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• Chapitre 1 : Descente dans le terrier du lapin



La grande sœur d’Alice lui lit un livre ennuyeux, quand soudain passe en courant un lapin blanc : Alice le poursuit dans son terrier et après une longue chute se retrouve dans une pièce souterraine. Là, sur une table, elle trouve un petit flacon avec l’indication « bois-moi ». Alice boit le contenu du flacon et rétrécit. Elle mange ensuite un gâteau qui se trouvait sous la table, dans une boîte avec l’indication « mange-moi ». Elle s’attend à grandir, mais il ne se passe rien.

• Chapitre 2 : La mare aux larmes



Le gâteau fait son effet, et Alice grandit. Elle se met à pleurer, voit repasser le Lapin, puis rapetisse à nouveau. Elle se retrouve alors dans ses larmes, qui forment une véritable mare. Là, elle voit passer plusieurs types d’animaux qui nagent avec elle : d’abord une souris, avec qui elle regagne la terre ferme, puis plusieurs autres animaux directement inspirés des personnes présentes lorsque Carroll raconta l’histoire aux petites filles Liddell : un Canard (duck, pour Robinson Duckworth), un Dodo (pour Dodgson), un Lori (pour Lorina Liddell) et un Aiglon (eaglet pour Edith Liddell).

• Chapitre 3 : Une course au Caucus et une longue histoire



Alice et l’assemblée d’animaux se concertent afin de se sécher, ce qui fait penser à une parodie de réunion politique, puis le Dodo propose une course au Caucus; lorsque tout le monde a suffisamment couru et que tout le monde est sec, le Dodo déclare que tout le monde a gagné. Il prend alors un dé à coudre dans la poche d’Alice pour lui remettre solennellement en guise de prix. Ensuite, la Souris raconte une longue histoire qui apparaît dans le livre comme un Calligramme en forme de queue de souris, et dont le corps des caractères se rétrécit progressivement. Ceci a pour effet d’engourdir le lecteur qui ne lit pas l’histoire jusqu’au « bout » : cette sensation d’inattention est rapportée à Alice, quand la Souris croit qu’elle ne l’écoute plus. La Souris, vexée, s’en va, ainsi que tous les autres animaux : Alice se retrouve toute seule.

• Chapitre 4 : Le Lapin fait donner le petit Bill



Le Lapin Blanc revient et interpelle Alice sous le nom de « Marianne » : Alice entre alors dans la maison du Lapin, boit une seconde bouteille et se remet à grandir. Alice, coincée dans la maison, entend ensuite le Lapin envoyer l’un des ses domestiques, Bill, dans la cheminée : lorsqu’il est dedans, Alice lui donne un coup de pied qui le fait sortir de la cheminée et voler dans les airs. Les autres lui jettent ensuite des cailloux qui se transforment en gâteaux. Alice en mange un et rétrécit : elle s’enfuit, rencontre un petit chiot puis plus tard un ver à soie fumant un narguilé sur un champignon.

• Chapitre 5 : Les conseils du Ver à soie



Alice parle avec le Ver à soie, puis lui récite le poème « Vous êtes vieux, Père William », qu’elle déforme complètement 10. Le Ver disparu, elle découpe ensuite deux bouts de champignon, espérant retrouver sa taille normale en les mangeant : avec le premier, sa tête se retrouve au niveau de ses chaussures (son corps disparaît), et avec le second, son cou s’allonge terriblement et sa tête se retrouve au dessus des arbres. Là, elle discute avec un pigeon qui la prend pour un serpent (nouveau problème d’identité), puis se décide à grignoter progressivement ce qui lui reste de morceaux de champignon, jusqu’à retrouver une taille de vingt centimètres (« pour ne pas effrayer les gens qui habitent ici »).

• Chapitre 6 : Cochon et poivre



Dans ce chapitre, Alice entend pour la première fois parler de la Reine, et rentre chez la Duchesse. Dans la maison, il y a un chat du comté de Chester, une cuisinière et la Duchesse qui berce (en le secouant violemment) un bébé qu’elle appelle « Cochon » : au bout d’un moment, Alice se voit confier le bébé, s’en va avec lui, et celui-ci se transforme en cochon. Elle le laisse sur sa route, puis rencontre le chat du comté de Chester (qui possède un sourire figé) sur une branche, parle avec lui et demande son chemin. Le Chat lui explique les différentes routes et disparaît : Alice s’avance ensuite vers la maison du Lièvre de Mars.

• Chapitre 7 : Un thé chez les fous



Dans ce chapitre, Alice boit une tasse de thé en compagnie du Chapelier, du Lièvre de Mars et du Loir : les explications absurdes et insensées s’enchaînent (« Pas du tout la même chose ! protesta le Chapelier. Tant que vous y êtes, vous pourriez aussi bien dire que " Je vois ce que je mange ", c’est la même chose que " Je mange ce que je vois ! " ») et Alice finit par s’en aller, tandis que le Lièvre et le Chapelier tente de rentrer le Loir dans la théière. Alice retrouve ensuite la pièce du Chapitre 1, prend la clé qui est sur la table et ouvre une petite porte de vingt centimètres : en mangeant du champignon, elle rétrécit encore et passe par la porte pour arriver dans un grand jardin lumineux.

• Chapitre 8 : Le terrain de croquet de la Reine



Alice est confrontée à trois jardiniers en forme de cartes à jouer peignant des roses blanches en rouge : la Reine les surprend et ordonne qu’on leur coupe la tête. Ensuite, une partie de croquet est engagée, dans laquelle les maillets sont des flamands vivants, les boules des hérissons et les arceaux des soldats courbés en deux. Pendant la partie, où la Reine gagne en trichant, la tête du Chat réapparaît. S’en suit une controverse entre le Roi, la Reine et le bourreau quant à la manière de couper une tête sans corps (celle du Chat).

• Chapitre 9 : Histoire de la Tortue « Fantaisie »



Alice rencontre pour la deuxième fois la Duchesse, puis la Reine présente à Alice le Griffon (tête et corps d’aigle, pattes de chien et oreilles de renard) et la Tortue « Fantaisie » (tortue à tête de veau, pieds de cochon et queue de vache) : Alice engage avec eux une conversation truffée de jeux de mots - par exemple : « He taught Laughing and Grief. » (« Il enseignait le Rire et le Chagrin. »), où il faut substituer d’autres mots dont la prononciation est analogue, à savoir : « He taught Latin and Greek. » (« Il enseignait le Latin et le Grec. ») -.

• Chapitre 10 : Le quadrille des homards



La Tortue « Fantaisie » et le Griffon raconte ensuite à Alice comment se danse le quadrille des homards, puis Alice propose de leur raconter son histoire depuis sa chute dans le terrier du Lapin. Arrivée à l’anecdote de la poésie transformée « Vous êtes vieux, Père William », elle essaie de réciter d’autres poésies qui sont une fois de plus transformées par sa bouche. La Tortue « Fantaisie » décide de lui réciter une vraie poésie, mais elle est interrompue par l’annonce du début d’un procès.

• Chapitre 11 : Qui a dérobé les tartes ?



Alice assiste au procès, où réapparaissent plusieurs personnages rencontrés au fil de son aventure : le Lapin Blanc ; le Roi (qui fait le juge) ; la Reine ; Bill le lézard (qui fait parti du jury) ; Le Chapelier, Le Loir et le Lièvre de Mars (tous les trois témoins) ; la cuisinière. Soudain, Alice se remet à grandir, puis le Lapin Blanc la cite comme témoin.

• Chapitre 12 : La déposition d’Alice



Alice, qui a grandi, commence par renverser le banc des jurés, puis est accusée par le Tribunal. Une discussion est commencée pour savoir si oui ou non Alice est coupable : la Reine finit par ordonner qu’on lui coupe la tête, au moment où Alice a retrouvé sa taille normale. Les cartes à jouer se jettent néanmoins sur elle, et Alice se réveille couchée sur un talus, la tête sur les genoux de sa sœur. Le texte se termine par l’évocation d’une «vision» de la grande sœur qui imagine les personnages du rêve d’Alice et retombe ainsi en quelque sorte dans l’enfance.

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